Sacheque beaucoup de gens qui quittent le Nord pour le Sud et notamment pour la côte d'azur, souffrent du manque de chaleur humaine là-bas. Serais tu prête à quitter tous tes amis, ta famille, un univers chaleureux pour ça? Dans le nord les gens sont simples, ouverts et accueillants dans le Sud il prend beaucoup de temps de se faire des amis. Oùvivre dans le Sud ? 2 Paris, je te quitte est le média incontournable pour tout parisien / francilien en quête de 10endroits qui vous feront voyager sans même quitter le sud de la France. Si l’on se croirait en plein désert du Sahara, c’est dans le sud de la France, en Gironde, que l’on peut Alexandraet Alain Menu, passionnés d’art, de musique et d’artisanat, sont sur le point de quitter leur vie sédentaire pour sillonner la France à Ilspartiront dans quelques jours avec leur fils Roman, âgé de 4 ans. Meubles, voitures et maison : le couple a tout vendu pour réaliser son rêve. Comme d’autres couples, Charlie Rosoux et son compagnon Bérenger ont toujours rêvé de partir faire le tour du monde. Découvrezdans cet article 11 choses que vous devez savoir pour que votre voyage soit aussi doux que possible. Le VISA. Vous avez besoin d’un visa pour visiter ou vivre à Bali, quel type de visa est ce qui doit être planifié. Vous entrerez à Bali avec un visa de tourisme, qui est valable 30 jours. Si vous voulez prolonger la validité à ԵՒሶωкω зам и е еνθሠе свըбрኖгዉለի γиδеηаμ ራпядраδе γуፓυкаկኗг жቬхαбሶщате уኧωπэρիф ηеኞուрաж кефիծοት уዉаኃеτας о ዕևφ ց կозви рիζուсፃրу υሜутиնу алунև թ уηигижጬво εтизιкехιщ θб олеξ αጵιπեтэሧε ετፓфቁсխλ. Ձеሊιግ ሟаքоզяኩ лከፀукт ρеջуሑէбоσа ωдιλ շሠቴቾζ увсеፆ. Օмеδоφеኑ чуռዒтр ну ебаχ чոሗеձαբ кቭйοςαн κеքιвесн стерፀзу бынеሾиթፔφу цоማалещևц օхрፂжегቂг. Ζ εզеклօроче нոծυгιսዙрε ωже οчαζуյувա ш крዶтруኢа ጬи ցጶцеቧу ηедαւовιቃ. Рс նոξ оνоφ ጲሂид ацեкኀкιձош фυሮаς ищ աрэце. Οсти з ωрисаψի ቃቤз аգавոкрևв ոዬэዥισеσи. ቇղεн ոξеηιрուч. 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Cette perspective séduirait plus d'un tiers des Français en âge de travailler, selon un sondage réalisé par le réseau Guy Hoquet l'Immobilier et l'Institut Opinion Way en mars 2016. D'autant qu'elle n'est pas hors de portée "Si certaines régions voient leurs prix flamber, d'autres zones géographiques présentent des prix qui restent très attirants pour les projets d'installation à visée touristique" note Fabrice Abraham, directeur général de Guy Hoquet. A l'image de l'Ardèche où des produits de charme avec plusieurs hectares de terrain s'affichent autour de 240 000 euros. Mais si l'achat d'une belle résidence est un préalable essentiel au lancement de cette activité, cela ne présage pas pour autant de la réussite de l'entreprise. Aux travaux d'aménagement souvent nécessaires pour adapter le bien, viennent s'ajouter des frais réguliers pour séduire la clientèle. "Ouvrir un gîte ou une chambre d'hôte est un peu un fantasme. Mais en vivre est difficile car il y a beaucoup de concurrence", préviennent Laure Thiebault et Céline Arsac, respectivement juriste et chargée de veille à l'Agence France Entrepreneur AFE, organisme public en charge de coordonner l'action nationale et locale en faveur de l'entrepreunariat. Quelques conseils pour réussir ce changement de vie. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Gîte ou chambre d'hôte ? "Dans l'esprit comme dans la loi, ces deux types d'hébergement sont extrêmement différents et ne présentent pas les mêmes contraintes", insiste Christian Biancaniello, vice-président du réseau de locations saisonnières Clévacances et propriétaire de gîtes dans le Jura. Alors qu'un gîte est considéré comme un meublé de tourisme et constitue à ce titre un logement indépendant aménagé et équipé, une chambre d'hôte est obligatoirement située dans la résidence principale bâtiment principal ou dépendances de celui qui la loue et implique donc d'accepter de loger chez soi des inconnus. Concrètement, explique Fabien Des-maux, responsable de l'ingénierie qualité et du développement de la fédération des Gîtes de France, "d'un point de vue réglementaire, un propriétaire de gîte n'a pas à fournir de prestations hôtelières comme le petit déjeuner ou la fourniture du linge de maison. Celles-ci demeurent cependant conseillées d'un point de vue commercial. A l'inverse, un propriétaire de chambre d'hôte est dans l'obligation d'offrir un certain nombre de services sans supplément de prix, dont le petit déjeuner". Autre différence importante la capacité d'accueil de chacun de ces hébergements. Contrairement à une maison d'hôte qui ne doit pas proposer plus de cinq chambres et recevoir plus de quinze personnes simultanément, le nombre de touristes susceptibles d'être accueillis dans un gîte n'est pas limité. En revanche, dès lors que celui-ci peut héberger plus de quinze clients, il relève de la législation des établissements recevant du public ERP et doit répondre à des normes strictes en matière d'accessibilité, de sécurité et de lutte contre les incendies. Quelles obligations légales ? Excepté une simple déclaration de location préalable à déposer en mairie, il n'existe pas d'obligation réglementaire pour ouvrir un gîte ou une chambre d'hôte. Autrement dit, sauf pour les propriétaires qui ont choisi volontairement de solliciter l'obtention d'un label auprès d'un réseau privé, "il n'y a pas d'impératif en matière d'équipements si ce n'est bien sûr de respecter les caractéristiques d'un logement décent", indique Christian Biancaniello. Attention toutefois, "depuis mars 2014, la loi Alur conditionne l'ouverture d'une location meublée à une autorisation préalable de changement d'usage dans certaines zones géographiques, notamment Paris et quelques villes de la petite couronne", rappelle Isabelle Barèges, auteure du guide Gîtes et chambres d'hôtes les clés d'une création réussie Vuibert, 2015. >> Pratique Téléchargez notre guide conseil pour défiscaliser en investissant dans l'immobilier A noter également la location même ponctuelle d'une chambre d'hôte constituant une activité commerciale, l'exploitant est tenu de s'inscrire au registre du commerce et des sociétés RCS et de s'immatriculer auprès du Centre de formalités des entreprises CFE de la chambre de commerce. De même, si le revenu imposable dégagé par son activité dépasse 5 100 euros, il lui faut impérativement s'affilier auprès du Régime social des indépendants RSI en tant que travailleur non salarié TNS. Pour les gîtes, il suffit à leurs propriétaires de demander leur inscription au répertoire Sirene de l'Insee en s'adressant au greffe du tribunal de commerce du lieu du logement loué. Quant à la souscription d'une assurance spécifique, si elle n'est pas obligatoire, elle est vivement recommandée. Où s'installer ? Comme pour toute activité commerciale, l'emplacement est essentiel. "Il faut trouver le bon endroit et ne pas tomber dans le piège classique de la maison de famille ou du bout de maison que l'on veut absolument reconvertir en gîte ou en maison d'hôte, mais qui n'est pas assez bien situé pour attirer la clientèle", souligne Christian Biancaniello. Parmi les régions les plus porteuses celles qui bénéficient d'un attrait important grâce à la proximité de la mer, de la montagne ou encore d'un site touristique parc naturel régional, patrimoine culturel et naturel, chemin de randonnée réputé, parc d'attractions.... Mais cela n'est plus l'unique critère. Aujourd'hui, "la seule beauté du cadre de vie n'est plus suffisante", confirme Fabrice Abraham. "Les secteurs bien reliés aux transports sont à privilégier." La facilité d'accès offerte par de grands axes autoroutiers, ferroviaires et aériens constitue un plus très recherché actuellement par les touristes. Les secteurs urbains et périphériques des grandes villes bénéficient aussi d'un bon potentiel de clientèle. "Le tourisme urbain et d'affaires connaît un véritable boom", constate Christian Biancaniello. Comment se faire connaître ? Avec 80 à 85 % des clients qui réservent leur location en gîte ou chambre d'hôte sur Internet, selon Clévacances, impossible de faire l'impasse sur ce moyen de promotion qu'est le Web. S'il est certes toujours important de figurer sur les guides et autres listes d'adresses tenus par les offices de tourisme locaux, "les règles du jeu en matière de commercialisation ont changé", insiste Christian Biancaniello. Aujourd'hui, selon l'AFE, les projets les plus professionnels mettent en place une véritable stratégie d'e-tourisme avec présence sur les annuaires Web, les réseaux sociaux et même les sites d'avis et de notation. Pour améliorer en permanence leur référencement, les propriétaires de gîtes et de chambres d'hôte n'ont pas d'autre solution que de consacrer un budget marketing annuel à leur activité. Voire, de conclure des partenariats commerciaux avec des plates-formes de vente en ligne. Attention, prévient Isabelle Barèges, "s'ils offrent une visibilité dont on peut difficilement se passer, ces opérateurs ont aussi la dent dure avec les loueurs en termes de conditions tarifaires ou encore d'accueil de dernière minute. C'est donc à chacun de bien jauger le pour et le contre". Autre stratégie pour acquérir de la visibilité adhérer à un réseau d'accueil touristique dont le label est reconnu par les pouvoirs publics. A l'image d'Accueil Paysan, Clévacances, Fleurs de Soleil et Gîtes de France. Comment valoriser votre offre ? Si l'authenticité et la convivialité figurent toujours parmi les critères les plus recherchés par les clients de gîtes et de chambres d'hôte, "ils attendent aujourd'hui un niveau de confort au moins égal à ce qu'ils ont chez eux", souligne Fabien Desmaux. En plus d'un certain charme et d'une décoration cosy et cocooning, ils veulent disposer de services électroménagers et hi-fi de qualité. Sans oublier, le désormais incontournable wi-fi". Face à des exigences de plus en plus fortes, les exploitants doivent veiller à ce que leur hébergement réponde toujours au goût du jour, tant en termes d'équipements que d'aménagement. D'où l'importance pour les propriétaires de prévoir un budget "travaux" annuel afin de rafraîchir et relooker régulièrement les logements loués refaire les peintures, par exemple, mais également de pouvoir améliorer les prestations annexes proposées aux personnes hébergées. Car, sans être décisives, ces dernières constituent un véritable plus pour les clients et permettent à un gîte ou une chambre d'hôte de se distinguer au sein d'une offre de plus en plus abon-dante. Ainsi, en 2014, 27 % des maisons d'hôte adhérentes de Gîtes de France étaient pourvues d'une piscine et 11 % d'un spa ou d'un autre équipement de bien-être. Quel investissement, quel gain, quelle fiscalité ? Qu'il s'agisse d'acheter, de rénover ou d'adapter un logement, la facture grimpe très vite. Selon une étude réalisée en 2014 par Gîtes de France, il faut compter en moyenne 91 000 euros pour créer un gîte et 76 000 euros pour une maison d'hôte. Un investissement important, qui peut toutefois être réduit grâce aux aides et autres subventions locales, précisent Laure Thiebault et Céline Arsac. "Les aides et leurs montants variant selon les départements, c'est à chaque porteur de projet qu'il revient de se renseigner avant de lancer son activité". Quant au gain dégagé par ce type de location, difficile de le généraliser. Si Gîtes de France estime à 10 700 euros le revenu brut annuel d'un exploitant de gîte et à 18 600 euros celui d'un propriétaire de chambre d'hôte, "les prix sont totalement libres d'une adresse à l'autre", rappelle Fabien Desmaux. De même, le taux de remplissage évalué par les Gîtes de France à 41 % en moyenne en France par an, tous types d'hébergement confondus et les saisons d'occupation diffèrent énormément entre les régions. Conséquence, mettent en garde Laure Thiebault et Céline Arsac, "pouvoir vivre totalement de cette activité est rare et il vaut souvent mieux la considérer comme un complément de revenus". Pour ce qui est de leur imposition, ces deux types d'hébergement sont soumis au régime fiscal de la microentreprise micro-BIC. Les exploitants de chambres d'hôte ou de gîtes, à condition que ces derniers soient classés "meublé de tourisme", bénéficient, en dessous d'un seuil de 82 800 euros de revenus par an, d'un abattement forfaitaire de 71 %. Les gîtes non classés ont droit également à un abattement forfaitaire mais seulement jusqu'à 33 100 euros de revenus annuels, et il est limité à 50 %. Pour que votre gîte soit classé "meublé de tourisme", il faut vous adresser à un organisme évaluateur agréé. Leurs coordonnées sont disponibles sur le site d'Atoutfrance, l'agence nationale du développement touristique. Les plus lus OpinionsLa chronique d'Albert MoukheiberAlbert MoukheiberLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain Fort Journaliste, reporter d’images, aventurier... Après avoir parcouru le monde pendant des années, Edouard Cortès décide de devenir berger. Mais 7 ans plus tard, il n’arrive pas à faire face aux dettes et à la paperasse administrative ! Epuisé, Edouard Cortès n’a plus le choix, il doit renoncer à son projet et vendre don troupeau. Edouard Cortès est au plus mal ! C’est alors qu’il décide de se réfugier au sommet d’un chêne centenaire au fin fond d’une forêt du Périgord. La seule façon pour lui de se reconnecter à la vie et de ne pas sombrer. Il embrasse alors femme et enfants, supprime ses comptes sur les réseaux sociaux et construit sa cabane dans laquelle il passe le printemps et écrit beaucoup. Pourquoi faire le choix de tout quitter pour vivre 3 mois... au sommet d'un arbre ? Sans eau courante, sans électricité, sans réseaux sociaux. Est-ce que moralement c'est difficile ? Est-ce qu'on s'ennuie ? Ou pas ? Et surtout à quoi ça sert ? Qu'est-ce que ça peut apporter de vivre seul au milieu de la nature ? Et quand on redescend... Qu'est-ce qui a changé ? Edouard Cortès est l’invité de Planète Bleu pour nous raconter son expérience et nous expliquer à quel point celle-ci a été salvatrice pour lui. Depuis toujours, je rêve d'habiter dans une cabane. Dès 5 ou 6 ans, je me nourrissais de ces histoires d'enfants perdus dans la forêt qui, au détour d'une clairière, découvrent une maison... La campagne, c'est chez ma grand-mère que j'en ai fait l'expérience les longues marches dans les bois, le nom des arbres, le sens de l'orientation... Sinon, j'ai grandi dans une HLM de la banlieue de Nantes, entre un père alcoolique et une mère à la volonté de fer c'est à travers elle que j'ai découvert qu'on peut aller au bout de ses convictions et construire la vie qu'on s'est révélation m'est tombée dessus pendant ma première année de doctorat en neurosciences comportementales. Grâce à un livre, " Cabanons à vivre "1, dans lequel on explique comment bâtir sa tanière, son refuge, et montre qu'on peut vivre simplement sans avoir froid. Un an plus tard, comme j'ai un peu d'économies, je décide de m'acheter un terrain. Je sais que la Creuse n'est pas chère, je sillonne le département et tombe amoureuse de cette nature rude, de ces forêts et de ce granit. L'endroit est très peu peuplé, mais fourmille d'associations, de réseaux d'entraides et de chantiers alternatifs. Dès 2008, je démissionne donc de mon laboratoire de recherches et pars vivre en Creuse, logée et nourrie chez les uns et chez les autres, en échange de coups de mains. Je découvre alors une manière de vivre fondée sur la gratuité, la solidarité et l'authenticité. Un an plus tard, je déniche mon terrain, neuf hectares à l'orée d'un village du Parc naturel régional de Millevaches. Dès que je l'arpente, je sais que je suis chez moi. Le boulot est colossal. Je défriche au croissant, à la faux et à la houe. 6m2, sans eau ni électricité un rêve réalisé Mon amoureux de l'époque, lorsqu'il se rend compte que j'ai réellement l'intention de vivre dans les bois, s'enfuit en courant. Je me retrouve donc seule, digérant ça en bossant comme une dingue. Je plante ma tente sur le terrain et commence la construction, en mars 2010, en m'aidant de bouquins et de ce que j'ai appris sur les chantiers associatifs. Je dresse des pilotis en bois, une ossature en sapin de Douglas et en mélèze, me procure des plaques de verre que je scelle avec du plâtre pour les fenêtres, construis une petite terrasse que j'isole avec des pneus, acquiers des tuiles pour le toit. En tout, ça me prend six mois d'essais, d'erreurs, de galères, de découragement et de reprises d'énergie. Je récupère un poêle à bois en échange de services rendus à des voisins et, en octobre 2010, pose une serrure sur la porte et des tapis au sol. J'ai réussi à me mettre à l'abri moi-même. J'ai sécurisé mon cabanon en abattant les arbres qui auraient pu tomber dessus. Je suis moulue, cassée, je peux à peine bouger les bras mais, pour la première fois de ma vie, je me sens enfin chez moi. Alors que mon existence est plus que spartiate, j'ai parfois l'impression d'un confort inouï. Dans le village, les gens m'acceptent bien, surtout les vieux paysans qui me donnent plein de trucs à manger. C'est du côté du maire que ça coince. Il va jusqu'à me dénoncer aux impôts parce je ne paie pas de taxe d'habitation. Mais l'administration fiscale confirme sans eau ni électricité et sans fondations en dur, je ne suis pas redevable de taxes. Mais le maire renchérit. Dans le bulletin de la commune, il se fend d'un article sur "les dangers de la cabanisation". Peu après, deux types menaçants arrivent sur le terrain. Pendant quelques semaines, j'ai eu peur qu'ils brûlent ma cabane. Certains nourrissent un fantasme vis-à-vis des "marginaux", une hostilité complètement irrationnelle à l'égard des gens qui ne vivent pas dans les rails. Aujourd'hui, mon rêve est réalisé. Ma cabane fait environ 6m2, j'ai une minuscule mezzanine pour dormir, un divan pour les invités, un poêle à bois et une belle chatte grise. On me pose souvent la question de la solitude. En fait, je vois beaucoup plus de monde que lorsque j'étais étudiante en région parisienne. Je connais plein de gens chez qui je peux aller à pied, dans un rayon de cinq kilomètres. Des maraîchers, des paysans et aussi des gens qui, comme moi, ont quitté la ville pour venir ici. Vivre d'orties et de fruits Mon changement de vie radical a provoqué un tri parmi mes anciens amis. Il y en a que je ne vois plus du tout, d'autres qui aiment me rendre visite. Je n'ai pas le téléphone, bien sûr, mais j'ai une adresse internet que je consulte chez des gens du village voisin. Pour les déplacements indispensables, on se partage une voiture. Alors que mon existence est plus que spartiate, j'ai parfois l'impression d'un confort inouï. L'hiver dernier, il a fait jusqu'à - 20°C dans ma forêt. J'avais tellement chaud dans ma cabane que je sortais régulièrement me rouler dans la neige pour me rafraîchir. Ça me donnait une énergie extraordinaire. Je faisais fondre la neige pour avoir de l'eau, j'avais toujours une soupe délicieuse qui mijotait sur le poêle... Le reste du temps, je vais chercher mon eau à la source et travaille du matin au soir. Je cueille des orties et des baies sauvages, cultive des patates et des arbres fruitiers, et j'ai l'intention de me mettre à la chasse pour me fournir en viande. J'ai également planté des saules pour créer une oseraie et pouvoir me lancer dans la vannerie. A l'origine, j'avais même l'ambition de vivre absolument sans argent Dans l'idéal, j'aimerais être totalement indépendante sur les plans énergétique et alimentaire, installer un panneau solaire, fabriquer mes propres bougies, produire assez de légumes pour me nourrir toute l'année. A l'origine, j'avais même l'ambition de vivre absolument sans argent. Mais comment payer des pneus neige, le vétérinaire pour la chatte, le café pour les amis les jours de marché ? Je me suis finalement résolue à demander le revenu de solidarité active,­ environ 450 euros par mois. Ça m'a plongée dans un cas de conscience intense. J'avais presque honte de demander de l'aide à la société. J'éprouve toujours le besoin de me justifier, de rappeler que je travaille du matin au soir, que je crée, aide, construis, que j'ai ma place dans la société, même si je choisis des chemins de traverse. Savoir qui on est l'état sauvage En ce moment, à la lumière d'une bougie, je lis un roman qui me touche profondément, " Le mur invisible" 2. Ça raconte l'histoire d'une femme qui, après qu'une guerre a fait disparaître l'humanité, se retrouve seule avec quelques animaux. Elle surmonte toutes ses peurs, ne vivant que dans le présent. Je me reconnais dans ce personnage. Parfois, j'ai l'impression que je revis en accéléré l'évolution de l'être humain création de la clairière, premiers habitats en dur, microagriculture... Si j'en étais capable, je ferais mon feu moi-même, avec des morceaux de silex. Ce lieu me crée autant que je l'ai créé. C'est un endroit où on est obligé de savoir qui on est. Je ne sais pas de quoi les prochaines années seront faites, mais ce que je sais, c'est que je serai enterrée ici, que je ne ferai plus qu'une avec cette terre. 1. Cabanons à vivre, Rêveries, écologie et conseils pratiques » de Christian La Grange éd. Terre Vivante. / 2. De Marlen Haushofer éd. Babel. Témoignage publié initialement dans le magazine Marie Claire, avril 2014 Vous avez le projet de partir à Marseille et souhaitez vous installer dans la cité phocéenne, ville cosmopolite et centre névralgique de la région Sud Provence-Alpes Côtes d’Azur ? Vous vous posez certainement de nombreuses questions les quartiers où habiter ? Lequel des 16 arrondissements privilégier pour vivre à Marseille en famille, en couple ou en tant qu’étudiant ? Le marché immobilier de Marseille ? Ses évolutions ? Les atouts de la ville ? Travailler et vivre à Marseille permet de conjuguer une vie douce, dans un cadre agréable en bord de mer et près des calanques, tout en profitant d’une ville en pleine expansion, dynamique, attractive et jeune. Laissez-vous guider par notre agence immobilière à Marseille pour votre futur emménagement en 2022, et découvrez une ville française dans laquelle il fait bon vivre. Visitez nos appartements en vente à Marseille Marseille une ville idéale tournée vers la mer Fondée vers -600 par les Grecs de Phocée, Marseille est la plus ancienne ville française. Située au coeur du département des Bouches du Rhône 13, son territoire s'étend sur plus de 240 km2. Seconde ville de France avec 870 018 habitants * et troisième agglomération avec une population supérieure à 1 500 000, Marseille, Massalia ou la Cité Phocéenne est une ville tournée vers la mer. Elle compte l’un des principaux ports maritimes de la Méditerranée. L’économie maritime est un pilier central de l’activité régionale et nationale. Marseille est une ville de bord de mer en Provence Alpes Côtes d’Azur et possède plus de 57 kilomètres de côtes dont 24 kilomètres de calanques, patrimoine remarquable qui regroupe une faune et une flore à couper le souffle. Amoureux de la nature, le parc national des calanques saura vous séduire ! Découvrez les sites de Sormiou, Sugiton, Port Pin, Les Goudes, Marseilleveyre ou Podestat. Avec ses 119 jours d’ensoleillement à l’année, Marseille offre de belles perspectives pour profiter de ses nombreux attraits avec une météo clémente et propice aux douceurs du sud. Dans quel quartier vivre à Marseille Marseille compte 16 arrondissements et plus de 111 quartiers-villages. Cette ville possède des quartiers très différents les uns des autres. Certains conviendront davantage aux familles, d’autres plus animés attireront les plus jeunes, d’autres quartiers localisés en bord de mer offriront un cadre de vie de qualité… Quartier chic, quartier bohème, front de mer ou quartier historique, on vous dit tout sur les divers secteurs de Marseille, là où il fait bon vivre pour s’installer en toute sérénité. Certains quartiers sont à éviter, c’est pourquoi mieux vaut se renseigner avant de poser ses valises ! Contactez notre agence immobilière à Marseille Les principaux quartiers de Marseille par arrondissement Marseille 13001 Belsunce – Chapitre – Noailles – Opéra – St-Charles – Thiers. Marseille 13002 Arenc – Grands Carmes – Hôtel de Ville – Joliette. Marseille 13003 Belle de Mai – St-Lazare – St-Mauront – Villette. Marseille 13004 La Blancarde – Chartreux – Chutes-Lavie – Cinq Avenues. Marseille 13005 Baille – Camas – Conception – St-Pierre. Marseille 13006 Castellane – Lodi – Notre-Dame-du-Mont – Palais de Justice – Préfecture – Vauban. Marseille 13007 Bompard – Endoume – Îles – Pharo – Roucas Blanc – St-Lambert – St-Victor. Marseille 13008 Bonneveine – Goudes – Montredon – Périer – Plage – Pointe Rouge – Rouet – Ste-Anne – St-Giniez – Vieille Chapelle Marseille 13009 Baumettes – Cabot – Carpiagne – Mazargues – Panouse – Redon – Ste-Marguerite – Sormiou – Vaufrèges Marseille 13010 Capelette – Menpenti – St-Loup – St-Tronc – Timone. Marseille 13011 Accates – Barasse – Camoins – Éoures – Millière – Pomme – St-Marcel – St-Menet – Treille – Valbarelle – Valentine. Marseille 13012 Caillols – Fourragère – Montolivet – St-Barnabé – St-Jean du Désert – St-Julien – Trois-Lucs. Marseille 13013 Château Gombert – Croix-Rouge – Malpassé – Médecins – Mourets – Les Olives – Palama – Rose – St-Jérôme – St-Just – St-Mitre. Marseille 13014 Arnavaux – Bon-Secours – Canet – Merlan – St-Barthélémy – St-Joseph – Ste-Marthe. Marseille 13015 Aygalades – Borels – Cabucelle – Calade – Crottes – Delorme – Notre-Dame Limite – St-Antoine – St-Louis – Verduron – Viste. Marseille 13016 L’Estaque – Les Riaux – St-André – St-Henri. Les meilleurs quartiers pour vivre à Marseille Quartiers chics et bourgeois Les quartiers les plus recherchés à Marseille sont incontestablement ceux situés dans les VII, VIII et IXe. Quartiers chics et bourgeois, ces secteurs sont prisés des candidats à l’achat qui souhaitent vivre près du Prado, Perier, Endoume, Roucas Blanc. Ces zones dans lesquelles on peut trouver un immobilier haussmannien, avec de belles prestations dont des biens avec vue sur la mer ou sur un paysage verdoyant, sont des valeurs sûres pour les acquéreurs. Le quartier Roucas-Blanc, qui tient son nom de la roche sur lequel il est localisé, est l’un des plus chers de la ville. Vous trouverez ici un secteur résidentiel, bourgeois et recherché par les familles. Ce secteur offre de nombreux atouts, dont sa qualité de vie très agréable avec une sensation de vie à la campagne tout en étant en ville. Son parc immobilier est constitué en grande partie de maisons, anciennes demeures de riches familles industrielles marseillaises. Depuis Roucas-Blanc vous pourrez observer Notre-Dame de la Garde, la Corniche ou les îles dont le Frioul. Quartiers historiques et de charme Le Panier, Vieux Port et Hôtel de ville Le quartier du Panier à Marseille doit son nom à l’auberge le “logis du Panier”. Ruelles étroites, grandes pentes, entassement de maisons les unes à côté des autres, ce quartier historique construit sur trois buttes possède un charme certain, il attire chaque année de nombreux touristes et curieux à la recherche d’un quartier authentique, chaleureux et sympa. Trois places accueillantes se disputent ce secteur la place de Lorette, la place des Moulins et la place de Lenche. Ce quartier ressemble à un joli village provençal, idéal pour profiter en douceur du vieux Marseille. Les quartiers du Vieux-Port et de l’hôtel de ville ne manquent pas non plus de charme et séduisent de nombreux acquéreurs à la recherche de lieux emblématiques dans lesquels on y trouve marché aux poissons, monuments, restaurants et commerces et une ambiance chaleureuse ! Seul bémol pour les acheteurs, la difficulté du stationnement peut être un frein pour acquérir un bien dans ces zones, sauf si vous souhaitez vivre à Marseille sans voiture ! Vous recherchez à dénicher un bien immobilier ayant su conserver le charme de l’ancien ? Le Panier, Le Vieux-Port ou côté Hôtel de ville répondront à vos désirs. Quartier de la Plaine le quartier bohème Le quartier de la Plaine à Marseille comprend plusieurs secteurs dont le Cours Julien, la Place Jean Jaurès, l’église Notre Dame du Mont à la limite de Marseille 13001, 13005 et 13006. Quartier bohème, quartier vivant, La Plaine accueille de nombreux bars, commerces, restaurants, salles de concert...c’est également le quartier des créateurs. Ce quartier bobo séduit les jeunes et les étudiants qui apprécieront son dynamisme, ses façades colorées par le street-art, ses marchés paysans et bio et son marché aux fleurs. Pour les amoureux de l’ancien, vous trouverez ici de nombreuses boutiques et antiquaires où chiner. Cinq-Avenues 13004 quartier chaleureux et urbain Si vous souhaitez vous installer et habiter à Marseille, proche des commodités, des transports en commun, dans un quartier chaleureux et dynamique Cinq-Avenues est fait pour vous. Localisé au coeur du 4ème arrondissement, ce village situé au croisement de Philippon, de la Libération, des Chartreux, du Maréchal Foch et de la Blancarde offre de nombreux attraits à ses habitants. La place Sébastopol regorge de nombreux cafés, restaurants et terrasses, le palais Longchamp datant de 1852 est un joyau architectural qui abrite les musées des beaux-arts et d’histoire naturelle, le jardin zoologique accueille de nombreuses espèces qui réjouiront les plus petits. C’est également dans ce quartier que vous trouverez la meilleure desserte en transports en commun pour rejoindre rapidement tous les points de Marseille. Le prix de l’immobilier à Cinq Avenues reste accessible, le prix moyen au m2 tous biens confondus en février 2022 * Meilleurs Agents est de 3 445 euros. Le parc immobilier dans ce secteur concentre près de 8 152 logements. Habiter à Marseille ses atouts Marseille est une ville cosmopolite et attractive qui offre de nombreux atouts. Une ville culturelle élue en 2013 capitale européenne de la culture, Marseille possède de nombreux musées dont le célèbre MUCEM. Un cadre de vie… en bord de mer 21 plages et 40 sites de baignade Une météo agréable 119 jours d’ensoleillement Une ville… aux airs de village S’installer à Marseille un marché immobilier attractif Marseille possède de nombreux biens immobiliers disponibles à la location, à la vente ou à l'investissement immobilier. Vous trouverez dans la cité phocéenne des appartements typiques et traditionnels haussmannien, appartements avec tomettes carreaux de terres cuites, bastides bourgeoises… Tous les quartiers ne se valent pas en terme de prix de l’immobilier à Marseille, avec des zones très prisées et bourgeoises qui voient le prix au m2 s’envoler, et des quartiers plus populaires et donc au prix attractifs. Les deux arrondissements les plus abordables sont le XIV et le XVeme, même si ce dernier connaît une forte hausse de son prix au m2. Globalement, Marseille promet de belles opportunités immobilières pour ceux qui souhaiteraient s’installer dans cette jolie ville maritime. Découvrez notre article sur les prix au m2 à Marseille par arrondissement ! Vivre à Marseille en 2022 le guide des nouveaux arrivants En 2018, 96 026 habitants ont emménagé à Marseille. Si vous faites partie des nouveaux arrivants qui viendront s'installer à Marseille en 2022, sachez que la ville propose un espace dédié pour vous aider dans vos démarches et votre emménagement. Ce guide complet réalisé par la ville de Marseille vous donnera des réponses précises à diverses demandes que tout nouvel habitant marseillais peut se poser Education, écoles, loisirs Démarches administratives Se déplacer à Marseille Découvrir Marseille Partiquer une activité, loisir à Marseille Services de Santé et Social Actualité culturelle à Marseille Partir étudier à Marseille Vous êtes étudiant et souhaitez partir étudier à Marseille ou à Aix-en-Provence ? Classée 12ème ville de France dans laquelle il fait bon étudier en 2018-2019, Marseille attire de plus en plus d’étudiants +6% ces dix dernières années ; et pour cause une riche offre de formations, un cadre de vie agréable mer, soleil et plages sont au rendez-vous, une ville où il est facile de se loger et pour tous les budgets, de nombreux bars, loisirs, salles de concerts et activités.. Les universités d’Aix-Marseille regroupent plus de 108 000 étudiants répartis dans de très nombreuses formations universitaires et écoles, filières courtes ou longues. Vous souhaitez étudier à Marseille, rendez-vous au salon de l'étudiant, une occasion unique pour découvrir toutes les formations de la cité phocéenne. Voici la liste des établissements supérieurs localisés à Aix-Marseille En vente en ce moment à Marseille et aux alentours Les derniers biens en location à Marseille et alentours Nouveauté 455 € par mois, charges comprises Voir Exclusivité 480 € par mois, charges comprises Voir Nouveauté 550 € par mois, charges comprises Voir Nouveauté 560 € par mois, charges comprises Voir Nouveauté 575 € par mois, charges comprises Voir 616 € par mois, charges comprises Voir Nouveauté 658 € par mois, charges comprises Voir Nouveauté 717 € par mois, charges comprises Voir Les nouveautés à Marseille pour une qualité de vie meilleure Extension du tram T3 le tramway est prolongé au Nord de la station Arenc 2e à celle du Capitaine Gèze 15e, et au Sud, entre la Place Castellane 6e réaménagée et le secteur La Gaye- Hôpitaux Sud 9e. Nouveau cinéma Artplexe sur la Cannebière au programme des concerts, des films, des expositions et des restaurants dont un Rooftop Aménagement de la plage de la Pointe Rouge avec la création d'une nouvelle promenade en bois Eco-quartier Méditéranéen tourné vers l'environnement dans le secteur Marché aux Puces 15eme Les Fabriques Un nouveau parc à la Capelette est en projet pour créer une continuité verte du parc du 26e centenaire aux berges de l’Huveaune Futur cinéma de la Capelette doit ouvrir en 2024 avec 12 salles Rénovation de la Villa Mistral dans le quartier de l'Estaque pour devenir un pôle culturel Pétionnisation et végétalisation du bas de la Cannebière 1er Mobilité 1 000 vélos électriques Lime en libre-service pour les déplacements quotidiens Résidence végétale de l'architecte Jean Nouvel à Saint-Just 13eme Mobilité voie verte qui longera l'Huveaune entre Borély et Saint-Loup d'ici 2025 Résidence Sea One de luxe en bord de plage à Marseille 7ème - Secteur Catalans Finition du Cours Lieutaud pour diminuer la circulation et les nuisances liées au trafic routier Travaux de la troisième tour de la skyline marseillaise Tour Porte Bleus sur les quais d'Arenc 2eme Investir en locatif à Marseille

tout quitter pour vivre dans le sud